Et si on poussait la clim à fond ? Et si on exploitait encore un peu plus les sols, les océans, les ressources naturelles ?
Avec cette campagne, l'OFB prend volontairement le contre-pied. Une fausse piste pour une vraie prise de conscience. À travers deux films pleins d'ironie, nous rappelons l'urgence de protéger la biodiversité.
Les États membres ont adopté en 2024 le Règlement sur la restauration de la nature qui introduit pour la première fois des obligations juridiques de résultats en matière de restauration écologique. Il fixe des objectifs progressifs avec 30 % de milieux restaurés d’ici 2030, 60 % d’ici 2040 et 90 % d’ici 2050 et une évolution nette de la biodiversité dite « ordinaire ».
Ce règlement se déclinera sur le territoire français par un plan national nommé « Agir pour restaurer la nature ». Il vise tous les types de milieux : cours d’eau, zones humides, forêts, espaces agricoles ou urbains, milieux marins et se construit en concertation avec les citoyens.
Vous pouvez apporter votre contribution à l’élaboration du Plan national d’actions « Agir pour restaurer la nature » en répondant à cette consultation en ligne.
Cet indicateur montre l'évolution de la température de la couche supérieure des lacs, celle qui est la plus sensible aux changements de température. Il illustre l'impact du réchauffement climatique sur les écosystèmes des plans d'eau (naturels et de barrage), avec un impact fort sur les conditions de vie de la faune et de la flore lacustres.
« Si l’abeille venait à disparaître, l’humanité n’aurait que quelques années devant elle. »
Albert Einstein